Add caption |
Samedi 31 décembre
On passe la nuit au campement Farafina, proche du lac Tengréla, où s'est tenu un festival de musique sont qu'il s'est terminé hier: ( Petite fête musicale au village, même des tout petits enfants dansent en rythme, super spectacle. Comme d'habitude on se couche tôt, pas le courage d'attendre minuit.
Campement de Farafina |
Lundi 2 janvier
Retour sur Bobo Dioulasso
Mercredi 4 janvier
Journée tranquille chez nos amis Malvina et Bra, ça fait du bien de se reposer devant la télévision avec plein de chaînes.
le stand de nos amis au marche de Bobo |
Mardi 9 janvier
On a bien "duré" = passer du temps à Bobo donc départ pour Boromo, à mi chemin entre Bobo et la capitale. On passe la nuit à l'hôtel des voûtes nubiennes, voisin avec l'association qui porte le même nom. Il s'agit d'une association qui sensibilise les villages à construire selon une technique ancienne, déjà utilisée au temps des pharaons. Une construction uniquement avec des briques de terres, pas de ciment, pas de bois. Le toit est voûté et les murs recouvert d'une peinture à la chaux. L'avantage est l'utilisation de matériaux largement disponibles et peu coûteux ainsi que la fraîcheur à l'intérieur des maison.
PAUSE A L'HOTEL, VIVE LA FRAICHEUR DES VOUTES |
HOTEL DES VOUTES, TOUT CONSTRUIT EN TERRE |
mercredi 10 janvier
On quitte Boromo, pour la capitale Ouagadougou. La route est bonne sauf deux déviations mais par rapport à ce qu'on a connu, c'est rien ; )
CA SE VOIT PAS BIEN MAIS C'EST PLEINS D'OEUFS SUR SON VELO |
SACRE CHARGEMENT NON? |
Arrivée à Ouaga, la mission est de trouver l'ambassade du Ghana pour faire les visas, mission car nous avons un guide qui date de 2000 mais depuis les noms des rues ont changé. On trouve enfin , il est 13h45, ils ferment dans 15 minutes et ils demandent 4 photos passeport (que font-ils avec 4 photos alors que les autres payes en demandent que 2?). Ca faisait longtemps que je n'avais pas stressé, Malachi et moi montons dans un taxi, vite vite direction centre ville pour photo deluxe qui délivre 4 photos passeport instantanée pour 2500 CFA ! Et hop le taxi nous attend et on est reparti pour l'ambassade qui se montre particulièrement clémente car elle nous attend. Les visas c'est une grosse dépense ici, visa simple entrée pour 2 mois: 17700 CFA, entrée multiple pour 3 mois: 30000 CFA. Sur le formulaire il est demandé deux adresses de contact au Ghana, on en a une seule et ça semble passer (accompagné d'une lettre d'invitation) et ils ne nous demandent heureusement pas le carnet de vaccination (le vaccin de la fièvre jaune est obligatoire et on ne l'a pas fait).
L'après-midi, on la passe à attendre Jean, un ami aux jardins de Ouaga, joli jardin fleuri au centre ville. Puis, petite virée nocturne avec Jean et ses amis rassemblés au maquis (bar) pour boir des bières. Ici les hommes sortent généralement sans leur femmes sinon ils se font moquer par leurs amis et traiter de "mari rose". Apparemment les business qui marchent ici sont les boulangeries, les pharmacies et les maisons closes.
DES PATATES SAUTEES, QUEL BONHEUR |
Jeudi 11 janvier
Petit tour d'un des supermarchés les mieux fourni de Ouaga, on y trouve de tout même du caviar mais à des prix français voir plus cher et la plus part des produits sont de la marque leader price donc on se limite aux essentiels: un peu de chocolat noir : ) entre autre.
La circulation en ville est particulièrement éprouvante et difficile à décrire. Les feux et les priorités ne sont pas forcément respectées, on se trouve souvent entourée de mobylettes qui dépassent sur la gauche et la droite, de nuit des voitures en panne sont arrêtées sur la voie, sans feux...bon grâce à la maîtrise de notre pilote Chuck qui a déjà parcouru 7000km, nous n'avons pas eu d'accrochage mais c'est CHAUD.
Mercredi 18 janvier
Enfin ça va mieux après plusieurs jours de troubles gastro-intestinaux et de grosse fatigue. Nôtre hôte habite à 100m d'une clinique et nous a fait venir à domicile un ami médecin donc, famille: pas de panique, nous ne sommes certes pas habitué aux germes mais le pays ne manque pas de pharmacie et de cliniques, il faut juste de l'argent et de la patience pour se faire soigner.
DANS LA COUR DE NOTRE AMI JEAN |
ET OUI C'EST MODERNE, MEME LA TELE DANS UN CARREFOUR DE OUAGGA |
A L'HOTEL TAMANA |
Samedi 21 janvier
Il nous faut faire environ 45 km de piste pour se rendre à l'entrée du rance de Nazinga oû on espère pouvoir passer la nuit sauf que l'hôtel est complet (il faut réserver à l'avance) et que pour des raisons de sécurité (éléphants) ils ne laissent plus camper les gens. Heureusement on nous autorise à camper juste devant l'entrée pour nous éviter de refaire la piste pour Pô. L'entrée pour le parc est assez coûteuse, 8500 CFA par personne, 1000 pour le véhicule, 2000 pour une caméra et 5000 pour un guide.
Etant donné qu'on est pas prêt de si bonne heure, on nous conseille de prendre le guide à l'entre plutôt que depuis l'hôtel du ranch ( qui est à 1h30 de piste de l'entrée) pour qu'on puisse prendre des raccourcise. Le guide s'avèrera très utile car après 10 ans, il a des yeux de lynx et nous montre des animaux à distance qu'on aurait pas vu. On passera plusieurs troupeaux d'éléphants de très près, si près que les éléphants se montre un peu menaçant et dès que le chef du troupeau se dirige vers nous, on préfère filer avant qu'il ne charge. La piste est adaptée pour un véhicule tout terrain mais on arrive tout de même à circuler. Au final on aura vu des babouins, des antilopes, des fachochères et des crocodiles.
On est entré dans le ranch avec une voiture qui à la peinture semble quasi neuve et on en sort avec les côtés tout rayés : (
LA CONDUITE DANS LE PARC PAS TOUJOURS FACILE |
ON EST TOUT PRET ET ILS COMMENCENT A S'ENERVER |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire